Nano-rouille : Additif intelligent pour le contrôle autonome de la température

Une nouvelle méthode polyvalente pour le contrôle de la température dans les matériaux

11.07.2022 - Allemagne

La bonne température est importante, que ce soit dans les processus techniques, pour la qualité des aliments et des médicaments, ou pour la durée de vie des composants électroniques et des batteries. À cette fin, les indicateurs de température enregistrent les hausses de température (non) souhaitées qui peuvent être lues ultérieurement. Les chercheurs du groupe dirigé par le professeur Karl Mandel, titulaire de la chaire de chimie inorganique de la FAU, ont réussi à mettre au point un nouvel indicateur de température sous la forme d'une particule de taille micrométrique dont le composant central est la rouille. Les résultats de cette recherche ont été publiés dans la revue Advanced Materials.

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Image symbolique

Le nouvel indicateur de température présente des avantages décisifs par rapport aux indicateurs précédents : sa petite taille lui permet d'être utilisé de manière flexible et le fait qu'il soit composé de matériaux facilement disponibles le rend peu coûteux à fabriquer. Mais ce qui le rend vraiment exceptionnel, c'est la structure modulaire des particules de polymères et d'oxyde de fer ainsi que le procédé de lecture magnétique. La conception modulaire permet d'adapter l'indicateur à une application spécifique. La méthode de lecture magnétique permet de lire les informations stockées dans les indicateurs de température, même dans les profondeurs d'un objet sombre ou derrière un revêtement opaque. Cela n'est pas possible avec de nombreux indicateurs actuellement utilisés. Il est important de noter qu'aucun contrôle de la température en temps réel n'est effectué comme avec un thermomètre. Au lieu de cela, l'indicateur de température mémorise la température maximale jamais atteinte dans le passé, comprise entre 40 et 170 °C. Cela convient particulièrement bien pour retracer l'historique de la température d'un matériau, ce qui n'est pas possible avec les thermomètres ordinaires sans unité de mémoire.

Note: Cet article a été traduit à l'aide d'un système informatique sans intervention humaine. LUMITOS propose ces traductions automatiques pour présenter un plus large éventail d'actualités. Comme cet article a été traduit avec traduction automatique, il est possible qu'il contienne des erreurs de vocabulaire, de syntaxe ou de grammaire. L'article original dans Anglais peut être trouvé ici.

Publication originale

Recording Temperature with Magnetic Supraparticles; Jakob Reichstein, Stephan Müssig, Hannes Bauer, Susanne Wintzheimer, Karl Mandel; Advanced Materials; 2022

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